Le temps et le feu. [ pv Ouranos, Pyros, demandez par MP pour rejoindre ]

Ils avaient réussi à sortir ! Impensable ! Avant de rejoindre l'entrepôt de Manners, ils avaient fait une pause dans la forêt. Hayden avait demandé à Dustin et au reste du groupe de continuer d'avancer. Lui protègerait leurs arrières. Même s'ils étaient tous harassés, ils continuaient d'avancer. Comme pour faire empirer la situation, il pleuvait. La plupart des adolscents étaient afammés, épuisés, transis de froid et trempés. S'ils ne parvenaient pas a bientôt rejoindre un abri sec et chaud, ...
Non, Pyros ne voulait pas y penser. Il repoussa ses cheveux en arrière. Il fit un signe de tête à Dustin, autour de qui les plus jeunes s'étaient rassemblés.

- Courage, nous ne tarderons pas à rejoindre un abris sec. Je suis sûr qu'il y aura de quoi se tenir au chaud ! Il ne reste qu'un tout petit effort à fournir !

Ils finirent par se remettre en route. Hayden n'hésita pas à les encourager. Il resta en arrière toujours par prudence. Le groupe disparut entre deux arbres. Il était seul. Un bruit se fit entendre. Il fit volte face.

- Qui est là ?

Sa voix était soudain beaucoup moins assurée. Pourrait-il utiliser son pouvoir sous la pluie ?

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

Ouranos était vêtu d'un capuchon noir, on ne pouvait pas discerner son visage, à cause de sa couleur, et du temps qu'il faisait, qu'il avait produit, qui faisait que l'on ne pouvait pas voir à deux mètres. Il regarda le jeune homme, sa voix était dur, mais on pouvait discerner de la crainte voir de la peur.

Il s'avança vers celui-ci sans rien dire, il l'examina, puis ils se regardèrent dans les yeux, puisque le jeune homme ne pouvait voir que ses yeux.
Puis le jeune homme ouvrit la bouche pour parler...

Les yeux de l'inconnus étaient aussi noirs que la nuit. Hayden se sentit mal à l'aise, sans savoir pourquoi. Il était trempé, sortait de l'enfer et aurait tout donné pour dormir. Voilà qu'il se retrouvait face à cet étrange ersonnage. S'il n'avait pas vécut ce qu'il avait vécut, il aurait "flippé à mort". Mais il n'en avait plus la force.

_ Ecoute, je ne sais pas qui tu es, et je dois dire que pour le moment j'en ai rien à faire. Je sors de l'enfer, et je n'ai qu'une envie rejoindre un endroit où je pourrai dormir, au sec. Je n'ai pas d'argent, ni quoi que ce soit qui vaille la peine de se battre.

Pyros repoussa ses cheveux qui lui tombaient dans les yeux. Pourquoi l'autre ne parlait pas ?

- Bon, je ne sais même pas si tu me comprends, mais tu ferais mieux de ne pas rester ans le coin. Des hommes sont sûrement à la recherche du groupe que j'accompagne et crois moi, ils ne font pas dans la dentelle.

Hayden se retourna et se remit lentement en marche. De toutes façons, dans son état de fatigue,il ne pouvait pas aller bien vite.

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

Ouranos s'approcha encore plus de l'homme, pour n'être qu'à un mètre de celui-ci.Enfin, il lui parla :

- Venez, suivez moi, ou vous mourrez.dit-il dans un murmure.

Alors, Ouranos se retourna, et marcha lentement, sans même savoir si l'homme le suivait ainsi que ses compagnons. Mais ce qu'il savait, c'est que leurs poursuivants, avaient déjà pénétré dans la foret, et qu'il l'a ratissaient de fond en comble, sauf bien sur, la cabane d'Ouranos, car celle-ci était trop bien camouflé pour être découverte par quelqu'un mais si ce quelqu'un possédait des pouvoirs.

Ce que lui disait l'étrange homme était bien bizarre, mais Hayden trouva cela plus que réaliste, surtout vu la situation. Il décida de suivre. Un des petits se retourna pour voir où il était il lui fit signe de revenir. Il leur fit signe de revenir.
Ils se retrouvèrent à emboîter le pas à un inconnu, s'enfonçant toujours plus dans le bois.

- Merci beaucoup l'ami. Je suis Hayden, mais tous ici m'appellent Pyros.

Il n'était pas sûr qu'il l'ait entendu. De toutes façons, il avait trop sommeil et trop froid pour réfléchir correctement.

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

- Dépêchez-vous au lieu de parler! Les présentations seront après!

Ouranos les fit marcher pendant près de vingt minutes, en montant parfois quelques petites collines, ou en pataugeant dans des ravins etc... Enfin, ils arrivèrent dans un lieu, ou sur cinq mètres de larges et cinq mètres de longueurs, il n'y avait plus d'arbres, que des feuilles mortes et de la boue. Là, Ouranos, se baissa, mit sa main sous des feuilles et de la boue, puis se releva, en ayant soulevé une trappe. Cette trappe menait dans une grotte souterraine, ou vivait Ouranos...

Hayden fut surpris par la sécheresse dans la voix de leur sauveteur. Il échangea un regard avec Dustin. Ce dernier hocha la tête. Ils devaient le suivre.
Comme lorsqu'ils avaient fuit l'Institut, Pyros fut le dernier à suivre. Ils étaient une dizaine à être sortis. Un joli exploit, mais quatre fois plus étaient toujours aux mains de Straus et des Blouses Blanches.

Puis l'homme aux yeux de nuit referma la trappe, les plongeant dans l'obscurité. Hayden sentit quelqu'un se blottir contre lui.

-Pyros , souffla l'un des petits, j'ai peur du noir...

Pyros se concentra et fit apparaître une petite boule de feu qui éclaira en dansant les alentours. Tous les fugitifs s'étaient rassemblé autour de Dustin et lui, et son ami était légèrement en retrait par rapport à lui. Lui signifiant ainsi qu'il devait continuer à prendre les choses en main.

Il se contenta de fixer l'inconnu, ne sachant pas vraiment quoi dire. Malgré la chaleur que dégageait la petite boule flamboyante, il était transi de froid et peinait à empêcher ses dents de claquer.

Cela faisait déjà un moi. Un moi aussi long qu'une année. Un moi qu'elle avait étée contaminée. Un moi... Qu'elle était Annhilée. Pour l'instant, elle n'avait eu aucun besoin d'intervenir. Elle avait découvert tout ce que autrefois, enfermée dans sa cage, elle ne voyait pas. Pourquoi ce gaz s'était-il répendu dans sa cage? Pourquoi la sienne? Elle était Annhilée, mais elle n'avait jamais voulu le devenir.

Elle voyait le regard de dégoût de ceux qui était encore prisonnier. Il la regardait comme si elle était une lâche. Il la prennait pour une lâche. Pour tenir encore à la vie. Seul les plantes l'aidait à surmonter sa douleur. Sans elles, elle n'y serait pas arriver. Dans sa chambre seule, sur son lit. Elle broyait du noir, repenssant aux regards haineux des autres.

Elle eut encore evie de se pendre. Le lierre qui était dans sa chambre la dissuada, le rosier sortit sa plus belle fleur pour elle . Elle sourit. Elle n'avait pas sourit depuis une éternitée. Tout, dans le monde des Annhilés, était mécanique. Tout. Contrairement aux gens normaux, ils avaient fais d'énorme progrès sur ce point.

- Un sceau d'eau. Dit-elle d'une voix morose.

D'un coup, une sceau rempli d'eau sortit du plafond, se posa devant elle, puis se fondit de nouveau dans le plafond...Vraiment beaucoup de progrès. Avec se sceau, elle arrosa ces plantes qui l'entouraient. Sa chambre en était rempli. D'un coup, une alarme sonna. Une voix de femme s'éleva dans l'air.

"-Des gens se sont enfuis de la section B. Des gens se sont enfuis de la section B. A vos poste."

Quoi? Des gens c'étaient enfuis? Un sourire étira les lèvres d'Eilyne. Que la chance soit avec eux! Malheureusement, elle devrait les poursuivre avec les autres Annhilés. Elle courrut dans la salle aux armoires. Elle entra dans l'une d'elle et ressortit parée d'une combinaison noir une seconde plus tard. Enfin, ils entrèrent tous dans la salle aux planches. Eilyne monta sur une d'elle et ils décollèrent tous sans attendre. Volant dans l'air libre de la nuit. L'orage grondait au loin. Eilyne était la première d'entre eux. Des hommes, ceux qui les évaluaient volaient près de chaques Annhilés. Eilyne sentit la pluie la tremper et coller sa combinaison contre sa peau.

Les Fugitifs du bloc B ne devaient pas être loin. Comment aller loin sous une pluie pareille et avec tout ces petits. Eilyne descendit dans la forêt. Elle n'aimait pas beaucoup les hommes qui les suivaient, ils étaient pervers et sadique. Elle essaiya de semer le sien. Après plusieurs cabriole entre les arbres et des minutes de courses éffrénée sous le pluie. Elle réussit à le semer.

Des plantes lui raportèrent qu'elles avaient vu les fugitifs entrer sous terre. Elle les sentaient. Pas loin de là. Eilyne se depêcha d'aller à l'endroit où ses plantes lui indiquaient. Elle sauta à terre et fouilla le sol de regard. Elle trouve la poignée d'une trappe. Mais elle n'arriva pas à la soulever...Elle réésaya et sauta sur la trappe pour voir si elle se cassait... Elle entendit des voies...

Hayden entendit un infime bruit assez distant. Il regarda autour de lui, mais ce n'était que de la terre , des racines. Il jeta un coup d'oeil à leur sauveur, qui ne semblait s'être rendu compte de rien...
C'était comme un sixième sens, il sentait que quelque chose n'allait pas. Quand on sort de l'enfer, on a tendance à développer un sens pour éviter les ennuis.

Cela s'arretera-t-il un jour ce climat de peur perpétuelle ?

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

Ouranos s'arrêta. Il se retourna. Puis il fixa le jeune homme.

- Non ça ne s'arrêtera pas! Car ils sont là... murmura-t-il. Ecartez-vous!

Tous les enfants, et les plus vieux s'écartèrent.Enfin, il s'approcha de la trappe, il l'ouvrit brusquement, et là ils virent une femme qui cherchait la trappe, Ouranos n'hésita pas une seule seconde, il dirigea ses paumes vers la femme, et lui envoya la foudre, celle-ci se prit la foudre de plein fouet, et vola et s'écrasa contre un arbre...

- Dust, continuez à avancer ! Tous.

Sans attendre la réponse de son ami, il les dépassa tous, arrive au niveau de la trappe et de l'inconnu, et sauta pour sortir. A peine fut-il dehors que la pluie le retrempa à nouveau. Il cligna des yeux pour chercher la femme que l'autre avait projeté grâce à un éclair... grâce a un éclair. Lui aussi était une... euh... "chimère" ?

Sans plus réfléchir, il s'avança. Soudain, il sentit quelque chose s'accrocher à son pied et il s'affala dans la boue.

- Et mer...

Il regarda sa cheville. Elle était emprisonnée par une racine... Hon-hon. Tout ce compliquait... Il essaya de brûler le végétal, mais la flamme fut noyée par la pluie. Pyros lâcha une jolie ribambelle de jurons, dont certains lui étaient sortis de l'esprit depuis longtemps.

- Une douche froide... Non mais mer** à la fin ! Sleté de temps !

Il essaya de faire une plus grosse flamme. Fumerolle blanchâtre. Il était coincé...

Cela faisait plusieurs minutes qu'Eilyne essayait d'ouvrire cette fouttue trape, elle ne savait pas trop quoi faire, les capturés? C'était des gens comme elle! Les relacher? Elle se fairait punir! Elle était mitigée sur se choix là. Mais, que faire? Une décision s'imposa dans son esprit. Mais, au moment ou elle allait faire de nouveau quelque chose, la trappe s'ouvrit brusquement, après elle ne vit presque rien, elle vit un homme pointé sa paume sur elle et lui envoyer? Quoi? un éclaire...Oui, un éclaire. Tout sont corps de répondit plus et elle fut presque brûler entierrement. Elle souffrait, elle avait mal. Elle était perdue au milieu de la forêt avec des fugitifs qui la voulait surement morte... Qu'allait-elle faire? A moitiée carbonisée, ^même plus capable de bouger... Elle mit sa main sur l'arbre qui était derrière elle. Celui-ci murmura, paniqué. D'un coup, Eilyne sentit comme un courant passer par sa peaume et entrer dans son corps. Elle regarda son bras. Plus de traces de brûlures. Mais, elle regarda l'arbre. Certaines branches avait séché. Paniquée, Eilyne murmura à l'arbre.

-Non, non! arrête, tu meurs!

L'arbre la rassura, c'était elle qui était importante, de plus les arbres avaient une grande quantitée d'énergie. Cela n'empêcha pas à d'autre branche de sécher et aux feuilles de tomber. Elle vit alors la scène qui se passait à côté d'elle alors qu'elle avaittoujours la main sur l'arbre et que celui-ci lui donnait toujours de l'énergie. Le jeune était sortit de la trappe et c'était prit une racine. Une volée de jurons s'éleva dans les airs et Eilyne rit. Elle mit sa deuxième main par terre et la racine s'enleva délicatement du pied pour se remmetre dans la terre. Eilyne sourit...

Hayden se releva d'un bond dès que la racine se fut décrochée de son pied. Et essuya la boue mêlée à la pluie qui ruisselait sur son visage. Il comprit qu'il avait à faire à quelqu'un qui comme lui venait de l'Institut... Une étrange idée s'imposa à son esprit... et si les garçons et filles qui allaient un jour à l'Infirmerie et n'en revenaient jamais étaient transformés en armes humaines ?

Il pleuvait trop fort pour qu'il use son "pouvoir", sauf s'il arrivait à trouver de la matière inflammable sèche, ce qui était plus qu'improbable.

C'est à ce moment qu'il remarqua la jeune fille qui avait une main posée sur l'arbre. Etait-ce la personne qui avait voulu ouvrir la trappe ? Non. Impossible. Se prendre la foudre de plein fouet et survivre ...

- Qui es-tu ?

Le jeune garçon c'était relever. Mais Eilyne avait toute sa concentration sur l'arbre. Les pulsations faiblissait au fur et à mesure. L'arbre mourrait. Finalement, les pulsations se stoppèrent enfin. L'arbre était encore vivant et Eilyne soupira. Elle se laissa tomber et elle se mêla à la boue qui l'entourait. Elle serait sale et ses cheveux seraient durs à laver, mais elle s'en fichait. Maintenant, il ne fallait pas qu'elle se prenne de nouveau un eclair sinon, la vie d'un autre arbre lui serait donnée... Elle ne supporterait pas cette idée.

-Qui es-tu?

La jeune fille se redressa sur les coudes et plongea son regard dans celui qui lui avait parler. Un oeil vert, un oeil bleu [ C'est ça non?] Mystérieux, mais pas mal. Elle sourit mais son sourire s'envola d'aussi vite qu'il était venu.

-Si sa t'intéresse, je m'apelle Eilyne.

Son regard était toujours dans celui de l'autre...

- Je suis Hayden, celui qu'à l'Institut on nomme Pyros. Car tu étais bien à l'Institut, non ? Tu fais partie de ceux qui sont allés un jour à l'Infirmerie et qui n'en sont jamais revenus.

Il en était presque sur. Il était captivé par son regard émeraude. Aussi verts que la verte Irlande.

- Ecoute, je ne te veux aucun mal, mais si tu comptes nous ramener à l'Institut, ne t'attends pas à ce qu'on se laisse faire. Je préfère crever que retourner là bas.

Pure vérité. Pourvu qu'elle ne se rende pas compte, si ses intentions étaient bellissistes que sous la pluie et dans son état, il ne pouvait rien faire...
Combien de temps restèrent-ils ainsi à se fixer sous la pluie battante ?

>Pendant des minutes ils se regardèrent encore, sans ciller. Mais Eilyne cilla.

-Je ne veux pas vous ramener... Je sais que là bas c'est horrible, j'y suis encore.

Eilyne serra les poings, une expression de colère sur le visage. Mais elle se détendit un peu. Il fallait qu'elle se contrôle, les arbres aux alentoures le lui murmurait. Une peur passa en elle. Les autres Annhilés allait les retrouver.

-Vous devez partir murmura-elle. Vous devez partir! Dit-elle plus fort.

[i]Elle regarda au loin, ou elle volait juste avant. L'homme qui la suivait aussi allait venir vers elle. Elle avait peur pour eux... Les premires fugitifs de l'institut. Il ne fallait pas laisser la chance de voir une rebellion se former. Elle allait les aider. Elle mit les mains à terre. La terre autour des fugitifs se mouva lentement. Des plantes labouraient le sol. Des plantes géants poussèrent formant une immense feuille ou on pouvait montrer.

-Monter dessus, je vous promet que je ne vous remène pas. Sinon, tuez moi!

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

Ouranos dévisagea la jeune femme. Plus particulièrement ses yeux, car les yeux ne savaient mentir. Enfin il regarda le groupe, celui ci était composé de jeunes enfants, et de quelques adolescent et jeunes adultes. Enfin, il laissa son esprit sortir de son corps, et regarda depuis les nuages bas où étaient leurs poursuivants. Ceux là n'étaient plus très loin, il fallait partir. Alors il fit signe aux autres de monter sur la plante géante et il fît de même...

Même si l'air était silencieux, Eilyne entendait déjà le faible vrombrissement que produisait les planches. Son pouls accélera, elle regarda le groupe monter sur les feuilles géantes. Très lentement, trop lentement.

Quand ils furent tous installer, au loin on aperçevait les autrees Annhilés arriver en tous sens. Eilyne crispa ses mains sur la terre rendue molle par la pluie. Les feuilles partirent à grande vitesse à travers les arbres. Eilyne les voyaient s'enfoncer plus loin dans la forêt. Mais trop tard, les Annhilés arrivaient.

Elle enleva un cours instant ses mains du sol puis les remis. Des gros arbres poussèrent, devina-elle, autour des fugitifs, des brousailles poussèrent au bas des arbres, et les feuilles plutôt grandes des arbres recouvrit le ciel autour d'eux. Ils étaient invisible de l'exterieur. Du moins, l'ésperait-elle. Des planches se posèrent à côté d'elle...

Hayden regarda les autres. Ils s'étaient tous regroupés. En entendant dehors, des voix, il ne put s'empêcher de retenir son souffle.
Depuis quelques temps, il avait du mal à supporter les espaces clos. Dustin posa sa main sur son épaule.
Au moins ils étaient sains et sauf.

Il jeta un coup d'oeil à l'inconnu qui les avait aidés. Celui-ci se tenait légèrement en retrait. Comme s'il avait peur d'eux. Pyros lui it un petit signe de tête.
Des gouttes d'eau glacées glissaient de ses cheveux et venaient tomber sur sa nuque, lui hérissant la peau.

L'homme qui la suivait descendit de sa planche, une vingtaine d'Annhilés l'accompagnèrent dans son geste. Tous avaient un sourire rayonnant sur le visage. Eilyne sentit son coeur rater un batement, encore une fois, aujourd'hui, elle en aura eu la dose. Son visage se ferma, ils avaient attrapé un fugitifs.

Elle l'aperçu, deux Annhilés le tenait, un sourire victorieux sur leur lèvres. Ils se tenaient droit, comme des paons devant une femelle. Pathétique. Eilyne se releva lentement. Elle scruta le visage du Fugitifs, dans ses yeux, la peur, l'angoisse de retourner dans cet endroit horrible qui inspirait tout les cauchemards.

Les hommes qui suivaient les Annhilés dans leur tâche sautèrent à terre...

-Ce soir, vous avez temps libre jusqu'au matin pour cette bonne pêche!

Des exclamations fusèrent de toute part. Une seule personne ne participa pas à l'euphorie qui regnait autour d'elle... Eilyne. A vrai dire, toutes ses pensées étaient dirigées derrière le bosquet d'arbre à quelques metres d'ici. Car des fugitifs se trouvaient dans le bosquet. Son pouls s'accéléra lorsque les Annhilés s'envolèrent au dessus du bosquet, mais aucun ne s'arreta, enfin, ils partirent tous dans le ciel étoilé, comptant s'amuser toute la nuit à travers les contrées boisées.

Pyros échange un nouveau coup d'oeil avec Dustin, ils en avaient eut un nouveau. Il se sentit proche de la nausée. Il n'osait même pas bouger.
Un des plus jeunes se mordit le poing pour ne pas crier.

-Restez calmes, articula-t-il silencieusement. Ca va aller.

Pourvu qu'il ait raison. Il tourna la tête vers le ciel, et vit des ombres furtives passer.
Pourvu qu'ils ne nous repèrent pas. Et si Eïlyne les trahissait ?

Nombre de messages : 8 Age : 85 Date d'inscription : 01/11/2008

Ouranos réfléchit à la situation. Il observa la cage faîte de plantes. Il n'aimait pas être enfermée de la telle manière. Il fallait qu'il soit en contacte avec l'extérieur. Il fallait qu'il agisse, mais il avait besoin d'aide, pour cela fallait qu'il fasse confiance à l'autre.

- Je m'appelle Ouranos, je contrôle la météo, le temps, et mon humeur influe sur le temps également. Maintenant, il faut sortir! Vous êtes fatigué mais on ne peut pas rester là. Moi je sors!

Alors Ouranos se concentra, en canalisant toute son énergie, et en récupérant également de l'eau de plus qui se trouvait dans le sol. Et alors, il dirigea ses paumes vers le haut de la cage, et envoya une puissante décharge électrique, alors un trou assez imposant se forma sur le dessus de la cage. Il était à nouveau en contact avec de l'air, et de la pluie. Il grimpa, enfin il se trouvait complètement à l'air libre. Alors, il vit ses ennemis, et commença, a envoyer des dizaines d'éclairs en leur direction, et en les frappant avec la force du vent...

Hayden resta bouche bée devant le déchainement subit de.... d'Ouranos. Sans plus réfléchir, il grimpa à la suite de l'étrange homme.

- Dust', Kate, protégez les petits !

Il entendit Dustin grommeler un
"comme tu veux, mec."
Mais il se rendit compte que Kate avait préféré le suivre, comme à son habitude lorsqu'on lui disait de rester en arrière.

Ouranos avait surpris les Annhilés avec sa soudaine réaction. Pyros se concentra sur un ds Annhilés qui était en train de voler. Son espèce de plance commença à fumer, et un uppercut d'air l'envoya s'écraser au sol.

Il entendit un léger craquement et remarqua que Derek les avait rejoins. Il les aida de son mieux. Puis les autres Fugitifs qui avaient un pouvoir "offensif", montèrent eux aussi. Ils unissaient souvent leurs dons.

L'IRGE avait voulut créer des Armes Humaines, mais n'avait dans aucuns cas prévus qu'elles puissent se retourner contre eux.

Hayden remarqua alors un homme pas loin de celle qui avait voulu les aider. Sans un mot , il l'attaqua. Kate l'imita.

Une décharge éléctrique troua le haut du bosquet d'arbre. Eilyne hurla en tombant à terre, il avait carbonisé des tas de feuilles et de branches, leurs coupant la vie. Son pouls qui battait vite rata de nouveau un batement.

"Ils sont malades!" pensat-elle.

En effet, ils avaient grimper en haut du bosquet et attaquait par derrière les Annhilés qui jouaient à faire la course. Ceux qui avaient été toucher en plein vole tombèrent dans les broussailles épaisse de la forêt. Un mince sourire tira les lèvres d'Eilyne. Elle plongea, lit les mains à terre. Ceux qui tomberaient aurait du mal à sortir des buissons!

Alors, celui dans lequel plus tôt elle avait plonger son regard apparut en haut avec d'autre gens. Soudain, l'homme qui la suivait hurla, se retournant, Eilyne vut, stupéfaite, ses habit en feu. Elle crispa ses mains dans la terre, une racine le fit omber en arrirère et une autre l'assoma.

Un rire échapa de sa gorge. Elle pouvait enfin se venger de lui. Elle tourna les yeux en direction des fugitifs en haut des arbres, les Annhilés s'étaient regrouper autour d'eux avec leurs planches volantes.

"Approchez mes petits" pensat-elle de nouveau.

Elle se cacha dans les buissons et remis les mains à terre, elle aracha une poignée de terre du sol et les brandit face à un Annhilé qui s'approchais trop pret. Une liane monstrueuse lui arriva en pleine tête, l'envoyant s'éjecter plus loin dans les buissons de la forêt.

Un sourire réapparut sur le visage d'Eilyne.

» Fiche de Pyros
» Suggestion pour les groupes.
» Pour ceux qui veulent s'en aller à jamais